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Aide à l'indexation des inventaires de Me Hilaire LYBAULT (1589 à 1599)

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cdemaz
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Bonsoir à tous, :)

tiens, bonsoir Anthony, ça faisait longtemps ! Content de te voir (si j'ose dire) :roll:

mes œuvres du soir :

[226–111] Le 21 février 1595 – Inventaire après le décès de Claude VOUYE ( ?), huissier sergent à cheval au Châtelet de Paris. A la requête de honorable femme Marie PERIER (PERIÉ), sa veuve en son nom, et encore comme tutrice de Antoine VOUYE, âgé de 12 ans ou environ, leur fils mineur, habile à se dire et porter héritier du défunt son père. Et en la présence de honorable homme Simon MATHEAU, marchand boucher, bourgeois de Paris, subrogé tuteur dudit mineur. Les biens étant en une maison et lieux en laquelle il est décédé, et où la veuve est à présent demeurant, sis en la rue de la Coutellerie.

[226–114] Le jeudi 16 février 1595 – Inventaire après le décès de Sébastien DAVELOURT, secrétaire ordinaire de la Reine duchesse douairière de France, et garde ordinaire et provincial de l’artillerie et munitions au magasin et arsenal de Paris et Ile-de-France. A la requête de honorable femme Jeanne ADAMSON, sa veuve, tant en son nom que comme tutrice de Claude DAVELOURT, âgé de 18 ans ou environ, leur fils mineur, et encore comme tutrice de Sébastien de PARQUIN, fils mineur de Thomas de PARQUIN, écuyer, sieur de la Sablonnière et de feue damoiselle Suzanne DAVELOURT, jadis sa femme, qui fut fille dudit défunt Sébastien DAVELOURT et Jeanne ADAMSON sa femme. Et aussi à la requête de maître Daniel DAVELOURT, fils d’iceux défunt et veuve, en son nom, et de honorable homme Jacques GERVAIS, chirurgien de ladite feue Reine duchesse, et juré et contrôleur du vins à Paris, en son nom à cause de Jeanne DAVELOURT sa femme. Et encore en la présence dudit GERVAIS, comme subrogé tuteur dudit Claude DAVELOURT mineur. Lesdits Daniel, Claude et Jeanne DAVELOURT, frères et sœur et habiles à se dire, porter et nommer héritiers avec ledit Sébastien de PARQUIN mineur leur neveu, par représentation de ladite défunte Suzanne DAVELOURT sa mère, dudit défunt Sébastien DAVELOURT leur père et aïeul maternel dudit mineur. Les biens étant en une maison et appartenances d’icelle, sise à Paris, rue Simon Lefranc, en laquelle le défunt est décédé, et où ladite veuve est à présent demeurant.
Vue 131 : 1583 – Contrat de mariage Thomas de PERQUIN, écuyer, sieur de la Sablonnière et Suzanne DAVELOURT.
Vue 132 : 1594 – Inventaire après le décès de ladite Suzanne DAVELOURT.
Vue 132 : 1582 – Contrat de mariage d’entre Jeanne DAVELOURT, fille aînée desdits défunt DAVELOURT et sa femme, et maître Claude POULLET, commis au greffe des auditoires basses du Châtelet de Paris, à présent défunt.
Vue 133 : 1594 – Contrat de mariage Jacques GERVAIS x Jeanne DAVELOURT.

Merci de m'en attribuer deux pour demain.
Bon ben je me sers alors !

https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=75714&page=1
Inventaires de Hilaire Lybault - AN ET-CV-226 (1591-1595)

Vue 237 à refaire pour compléter l'analyse
Vue 241 à refaire (analyse non traitée)

[...]
89 Ch
96 JD
111 Ch
114 Ch
135 P
138 P
149 Ch
167 Ch

171 JD
174 JD

180 P
186 P

192 JD
199 JD

(236 Ch
242 Ch)
244 JD
248 JD
262 Ch
267 Ch
274 P
276 P
281
293
310
349
355
365
375
380
402
411
421
454
457
460

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Christophe.
Última edição por cdemaz em 21 outubro 2019, 07:05, editado 4 vezes no total.
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Bonsoir à tous,

L'acte de la vue [226 – 89] n'entre dans aucune catégorie habituelle : ce n'est pas l'inventaire des biens d'une personne, mais de titres et contrats concernant un village (le Plessis-Gassot).
Du coup, je ne sais pas quoi transcrire, ou indexer. Dans l'idéal, il faudrait relever tous les noms ou couples qui apparaissent dans chacun des titres, mais d'une part, on serait loin des principes habituels, et d'autre part, une vue sur deux est floue.

Bravo Christophe !


Je me limite donc au 96 :


[226 – 96] 9 mars 1595 – Inventaire dressé après le décès de feu honorable homme Denis LENFANT, bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve honorable personne Jeanne DUFRESNE, tant en son nom, à cause de la communauté qu’elle a eue avec ledit défunt que (pour le) don mutuel fait entre eux et encore comme exécutrice du testament et ordonnance de dernière volonté d’icelui défunt, et d’Adrien LOYSEAU, marchand demeurant à Boissy-Saint-Léger et Nicole GROUGNET sa femme, de lui autorisée, à cause d’elle, nièce et seule héritière dudit défunt LENFANT. Apposition de scellés.
Les biens étant en une maison sise rue Sainte-Avoye.
(vue 100) contrat de mariage
Nombreux contrat concernant des familles GROUGNET et LENFANT à Chelles.

Bonne soirée et à bientôt.
JD
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Bonsoir,

Voilà ces deux-là (je chercherai la rue tout à l'heure...):

[226-135] 30 janvier 1595 - Inventaire après le décès d'honorable homme Henri GOBIN, vivant , à la requête de messire Jean GOBIN, bourgeois de Paris, demeurant rue Neuve et paroisse Saint-Médéric, tant en son nom comme fils et héritiers pour une septième partie dudit défunt son père que comme tuteur des enfants mineurs d'ans de feu messire Louis BOBE, vivant lieutenant au bailliage de Lagny et Etiennette GOBIN jadis sa femme, et encore comme se faisant et portant fort d'honorable homme Raoullequin GOBIN son frère, marchand, demeurant audit Lagny, tant en son nom que comme tuteur et curateur des enfants mineurs d'ans dudit défunt GOBIN et de feue Germaine BOURDET jadis sa femme en dernières noces, le dessus aussi héritier en partie dudit défunt Henry GOBIN.
En une maison et appartenances d'icelle sise à Paris, rue de la Verrerie.

[226-138] 23 décembre 1594 - Inventaire après le décès de feue honorable femme Marguerite BRODEAU, au jour de son décès veuve de feu maître Jean PEAN, vivant huissier en la Cour de parlement à Paris, à la requête d'honorables personnes Jérôme PEAN, écuyer, maître Nicolas PEAN, commissaire et contrôleur au Châtelet de Paris, tant en leur nom comme héritiers chacun pour un quart de ladite défunte leur mère, et encore comme exécuteurs avec défunt Charles PEAN leur frère du testament et ordonnance de dernières volontés de ladite défunte leur mère, et aussi à la requête d'honorable femme Marie du CROCQ, veuve dudit défunt Charles PEAN, en son vivant marchand et bourgeois de Paris, au nom et comme tuteur et curateur des enfants mineurs d'ans dudit défunt et d'elle, habiles à se dire, porter et nommer héritiers dudit défunt leur père qui fut aussi héritier pour un quart d'icelle défunte Marguerite BRODEAU sa mère et de maître Jean LE COUSTELLIER, procureur en la Cour de parlement à Paris, et lieutenant général de la vidame d'Amiens, terre et baronnie de Picquigny, en son nom à cause de Denise PEAN sa femme, fille et héritière de défunt maître Jean PEAN, vivant avocat en la Cour de parlement à Paris, qui était fils aîné dudit défunt maître Jean PEAN huissier, et encore héritière pour une huitième partie de ladite défunte BRODEAU son aïeule paternelle, et d'honorable homme Nicolas ROLLAND, marchand et bourgeois de Paris, aussi en son nom à cause de Marguerite PEAN sa femme, sœur de ladite Denise PEAN, aussi héritière pour une huitième partie de ladite défunte BRODEAU.

Bonne soirée ;)
Última edição por pganier em 04 outubro 2018, 20:29, editado 1 vez no total.
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jdp1 Escreveu: 03 outubro 2018, 22:33 et d'autre part, une vue sur deux est floue.
J'ai rencontré la même chose sur ceux que j'ai livré ce matin.

@ Pascal : rue de la Verrerie. Et je dirais "terre et baronnie"

Pour le 89 je propose :

[226–89] Le 12 avril 1595 – Inventaire et description des lettres et titres et enseignement faisant mention et concernant les pièces( ?) fermes et terre du Plessis-Gassot (95720), fiefs, cens, rentes et autres appartenances et dépendances d’icelle, fourni et délivré à mademoiselle de SAINTE-BEUVE [Madeleine LUILLIER, veuve de Claude LE ROUX, seigneur de Sainte-Beuve] par monsieur de SAINT-AUBIN [Nicolas LE ROUX, seigneur de Saint-Aubin, conseiller au Parlement], conseiller du Roi et maître des requêtes de son hôtel.

Et il s’agit de cela :
Nicolas Le Roux, seigneur de Saint-Aubin, conseiller au Parlement, cède et transporte par échange à Madeleine Luillier, veuve de Claude Le Roux, seigneur de Sainte-Beuve, deux maisons et fermes au Plessis-Gassot, 12 avril 1595.
voir ici :
https://www.google.com/search?q=%22de+saint-aubin%22+%22de+sainte-beuve%22+%22plessis-gassot%22&source=lnms&tbm=bks&sa=X&ved=0ahUKEwjYh_OSt-3dAhUsCcAKHe4VC1kQ_AUIFCgB&biw=1280&bih=587

A plus tard
Christophe.
Última edição por cdemaz em 07 outubro 2018, 06:06, editado 1 vez no total.
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Pas beaucoup de travail sur ces deux-ci :

[226 – 171] 7 novembre 1594 – Inventaire, dressé à sa requête, des biens d’honorable femme Madeleine DIGEON, veuve de feu Isaac DHUICQUE, maître cordonnier à Paris, et en la présence de Thomas SERANS (SERANT), maître menuisier à Paris, demeurant rue Saint-Avoye (vue 173), paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, son futur époux.
Les biens étant en la maison du sieur Nicolas Mousseau, serrurier du Roi et bourgeois de Paris, sise rue Saint-Merry.

[226 – 174] 22 octobre 1594 – Inventaire, dressé à sa requête, des biens d’honorable femme Jeanne DAVELOURT, veuve de feu Me Claude POULLET, procureur au Châtelet de Paris, et en la présence d’honorable homme Jacques GERVAIS, chirurgien de la feue reine d’Écosse, douairière de France, son futur époux.
Les biens étant en une maison assise à Paris, rue Maubué.

Bonne soirée à tous.
JD
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Bonjour à tous :)

JD, pour le 171, il faut lire DHUICQUE.

[226–149] Le jeudi premier décembre 1594 – Inventaire après le décès de noble homme François BOUETE, écuyer, sieur de Sepoix, naguère contrôleur du grenier à sel de Paris, survenu le 7 novembre 1593. A la requête de damoiselle Catherine VERSORIS, sa veuve au nom et comme exécutrice du testament du défunt, et encore comme tutrice et curatrice de damoiselle Marguerite BOUETE, âgée de 18 ou environ, leur fille mineure, habile à se dire, porter et nommer seule héritières du défunt son père, après que ladite demoiselle à déclaré qu’elle renonçait à la communauté de biens d’entre le défunt et elle, se tenant à son douaire et conventions portées par son contrat de mariage. Et en la présence de noble et discrète personne maître François LE BOULLEUR, prêtre chanoine en l’église Notre-Dame de Chartres et y demeurant, oncle paternel et subrogé tuteur de la mineure. Les biens étant en une maison et appartenances d’icelle, en laquelle le défunt est décédé, et en laquelle ladite demoiselle est demeurant, sise rue Barre-du-Bec, paroisse Saint-Jean.
Vue 156 : 1581 – Contrat de mariage François BOUETE x Catherine VERSORIS.
Vue 161 : 1590 – Sentence obtenue par ledit François BOUETE à l’encontre de Robert BOUETE, son frère, écuyer, sieur de Cépoix.
Vue 164 : 1594 – Transaction entre ledit François BOUETE et damoiselle Marguerite BOUETE sa sœur, veuve de maître Joseph de HACQUEVILLE.
Vue 164 : juin 1594 - Le défunt sieur BOUETE a fait partage avec messieurs ses cohéritiers des biens et succession de feue damoiselle Marie LEPICART leur mère de laquelle il était héritier pour un cinquième.

Pour celui qui suit, j'ai quelques interrogations pour lesquelles je veux bien des avis.

[226–167] Le mardi 20 ( ?) novembre 1594 – Inventaire après le décès de Brigide SAYAT. A la requête de son mari, honorable homme Antoine NOLLET (NOLLÉ), maître tailleur d’habits à Paris, tant en son nom que comme tuteur de Thoinette NOLLET, âgée de 20 ans ou environ et Marguerite NOLLET, âgée de 3 ans, leurs filles mineures. Et en la présence de Etienne LEDOUTE, aussi maître tailleur d’habits à Paris, subrogé tuteur desdites mineures. Les biens étant en une maison sise rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, paroisse Saint-Merry, en laquelle la défunte est décédée, et en laquelle ledit NOLLET est à présent demeurant.
Vue 169 : 1583 – Contrat de mariage Antoine NOLLÉ x Brigide SAYAT. Elle apporte les héritages de ses père et mère, à elle appartenant sis à Courson, pays de l’Auxerrois (Courson-les-Carrières, 89560).
Vue 170 : Barthélemy JOUARDE, marchand (banquier) Genevois, donne et lègue à la fille dudit Antoine NOLLÉ et Brigide SAYAT sa femme, la somme de 33 écus et un tiers pour lui servir au mariage, plus lègue et donne auxdits Antoine et Brigide sa femme, ses domestiques, la somme de 20 écus.
Vue 170 : 1590 – Le testament de damoiselle Bonne FAUSSON, veuve dudit feu Barthélemy JOUARDE, banquier Genevois, passé à Poissy, appert ladite damoiselle avoir donné et légué audit Antoine NOLLÉ, son serviteur la somme de 100 écus d’or.

A plus tard
Christophe.
Última edição por cdemaz em 05 outubro 2018, 18:55, editado 1 vez no total.
jeanpaumelinon
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Bonjour Christophe,

Pour la date, je lis le mardy vingtiesme dud[it] novembre

Vue 170 : Barthélemy JOUARDE, marchand (banquier) Genevois, donne et lègue à la fille dudit Antoine NOLLÉ et Brigide SAYAT sa femme, la somme de 33 écus et un tiers pour lui servir du (au) mariage, plus lègue et donne auxdits Antoine et Brigide sa femme, … la somme de 20 écus.
Cordialement
Jean Paul
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cdemaz Escreveu: 05 outubro 2018, 07:18 JD, pour le 171, il faut lire DHUICQUE.
OK, merci Christophe
cdemaz Escreveu: 05 outubro 2018, 07:18 Antoine et Brigide sa femme, … la somme de 20 écus.
... : ses domestiques

Bonne journée à tous, et à bientôt. ;)
JD
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Mes contributions... directes ;)

[226 – 192] 21 juillet 1594 – Inventaire de séparation de biens dressé à la requête d’honorable femme Madeleine BENARD, femme séparée de biens d’honorable homme Antoine GUERIN, marchand et bourgeois de Paris.
Les biens étant en une maison sise rue Ogniart, paroisse Saint-Jacques-de-la-Boucherie.
(vue 198) contrat de mariage ; Catherine ROUSSEAU, veuve de feu Marin BENARD mère de la future.

[226 – 199] 30 juin 1594 – Inventaire dressé après le décès, survenu depuis six mois en la ville de Clermont en Auvergne, de défunt Me Claude JAMET, receveur du grand prieur de France, à la requête de sa mère Jeanne BERNARDEAU (BENARDEAU), veuve de feu Léonard JAMET, demeurant en la ville d’Orléans, rue de l’Ételon, paroisse de Notre-Dame-du-Chemin, étant de présent en cette ville de Paris, logée au Lion-d’Or près la Grève, habile à se dire, porter et nommer héritière quant aux meubles, acquêts et conquêts immeubles du défunt son fils, décédé sans hoirs, assistée de Pierre JAMET son fils, capitaine de gens de pied en la garnison de Jargeau, Pierre FLEURY, marchand chandelier demeurant à Orléans son gendre, et Philippe JAMET, femme d’Isaac AUDIGER, maître fourbisseur en la ville d’Orléans, fille de ladite BERNARDEAU, et en la présence de Me Jean DAVOUST, notaire au Châtelet de Paris, Marguerite PLANÇON (PLANSON), femme de Guillaume DESNOUX, greffier du pont de Charenton, demeurant sur le Quai de la Mégisserie aux Deux-Saints-Jean, de sondit mari se disant autorisée pour l’effet qu’il ensuit, tant en son nom que pour et au nom de Marguerite HAMET sa fille, veuve de feu Simon BERARD, marchand et bourgeois de Paris, de laquelle elle dit avoir charge en cette partie, Jacques LUSTAIN, marchand drapier bourgeois de Paris, demeurant au bout du pont Saint-Michel, noble homme Me Jacques Lecocq, avocat en parlement, demeurant au prieuré et paroisse Saint-Barthélémy, au nom et comme se disant avoir charge en cette partie du sieur CARGRESQUE (?), gentilhomme ordinaire de la chambre du Roi, Me Esprit Marquant, procureur au Châtelet de Paris, au nom et comme procureur de Jean VITART, maître charpentier de la grand cognée à Paris, assisté de Jacquette DESNEUX, femme dudit VITART, Jean REGNAULT, maître couvreur de maisons à Paris, tous se disant créanciers dudit défunt Me Claude JAMET.
Les biens étant en la maison dudit DAVOUST, en laquelle ledit défunt avait demeuré quelques temps, montrés et enseignés par ledit DAVOUST et par Marie POLLET sa femme.
(vue 234) bijoux, pierres précieuses.

Dans le second, un curieux nom : Imagem.
Si vous avez une idée...

À bientôt.
JD
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jeanpaumelinon Escreveu: 05 outubro 2018, 09:12 Pour la date, je lis le mardy vingtiesme dud[it] novembre
Merci Jean Paul, c'est aussi ce que je lis, mais ce qui ne colle pas c'est que le 20 novembre 1594 était un dimanche (grégorien) !
Mystère :?

Christophe.
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Bonsoir,

Voilà les miens, avec quelques petites choses à vérifier:

[226-180] 29 août 1594 - Inventaire après le décès de feu Michel PIGEART, vivant écuyer, archer des gardes du corps du Roi sous la charge de sieur de Manon, à la requête d'honorable femme Catherine AUBOURG, sa veuve, demeurant à Paris, rue du Temple où le défunt est décédé, comme exécutrice du testament et ordonnance de dernières volontés dudit défunt, et en la présence de messire Claude du Plessis, receveur de la commanderie Saint-Jean de Latran à Paris, qui aurait ci-devant fait procéder par voie de saisie et arrêt sur tous et chacun les biens, meubles et ustensiles d'hôtel ci-après déclarés, comme créancier dudit défunt.

[226-186] 29 août 1594 - Inventaire de séparation de biens à la requête d'honorables personnes Nicolas SERRE, maître barbier chirurgien à Paris, et de Catherine ROUSSELET, femme séparée des biens dudit SERRE, et auparavant veuve de feu honorable homme Marin BENARD (= BESNARD), lui vivant aussi maître barbier chirurgien à Paris, demeurant rue Saint-Martin, et suivant la sentence de séparation donnée entre ledit SERRE et sa femme, et assignation donné à la requête dudit SERRE à Guillaume Guerin, bourgeois de Paris, et maître Guillaume Desmartineault, procureur en la Chambre de comptes à Paris, ... créanciers de ladite ROUSSELET, par récolement de l'inventaire après le décès dudit BERARD du 14 juillet 1586.

Merci Christophe!

(J'ai un "Test SMART en erreur 303": je ne sais pas combien de temps je vais survivre...)

Bonne soirée ;)
Última edição por pganier em 06 outubro 2018, 20:34, editado 3 vezes no total.
cdemaz
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Bonjour Pascal, et tous les nombreux autres :)

pour le 180 : "Par voie de saisie"

pour le 186 :
SERRE comme sentence.
BENARD (à la SIV on trouve écrit BESNARD) https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/recherche/ir/rechercheGeneralisteResultat.action?formCaller=GENERALISTE&searchText=rousselet+besnard
Guillaume Desmartineault, procureur en la Chambre de comptes
Je dirais le 14e juillet 1586 (en comparant le nombre de barre de clos le 18e jour dudit mois, ligne en dessous)

Je te propose plutôt :
Inventaire de séparation de bien à la requête de Nicolas SERRE […] par récolement de l’inventaire après décès […]

@ JD :
199 : BENARDEAU au lieu de BERNARDEAU.
en la garnison de Jargeau (écrit Gergeau).
Je lis plutôt CARGRESQUE ou LARGRESQUE, mais c'est tout aussi curieux.

Bon WE
Christophe.
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Re bonjour, :)

[226–236] Le lundi 27 juin 1594 – Inventaire après le décès de la maladie contagieuse de Nicole TROUVÉ, veuve de maître Pierre DURAND, procureur au Châtelet de Paris. A la requête de maître Etienne DURAND, contrôleur ordinaire des guerres, au nom et comme tuteur et curateur des enfants mineurs de feus maître Pierre DURAND, son frère et de Nicole TROUVÉ, jadis sa femme. Et en la présence de maître Antoine TROUVE, grenetier de Melun (77000), oncle maternel et subrogé tuteur desdits mineurs. Récolement des lettres, titres et papiers de l’inventaire après le décès dudit Pierre DURAND le 22 avril 1587. Lesquels paiers lettres et titres trouvés en une maison sise à Paris, rue Barre-du-Bec, en laquelle est demeurant maître Claude DURAND, procureur en parlement … … par honorable femme Isabelle PREVOST (plutôt BEZANCON, voir vue 241.Elle signe Isabelle BEZANCON), femme dudit Claude DURAND.
Vue 237, cote 1 : Nicole TROUVÉ veuve dudit défunt Pierre DURAND, tant en son nom que comme tutrice et curatrice de Marguerite, Anne, Antoine, Pierre, et Germain DURAND, leurs enfants mineurs, et en la présence dudit Etienne DURAND, oncle paternel et subrogé tuteur desdits mineurs.
Vue 237, cote 2 : 1573 – Contrat de mariage dudit Pierre DURAND.

Vue 238 : 1584 – Maître Pierre DURAND, procureur au Châtelet de Paris, contre maître Nicolas TROUVÉ, grenetier de Melun, tant en son nom que comme tuteur de Olivier TROUVÉ.
Vue 241 : 1587 – Contrat d’échange entre Nicole TROUVÉ, tant en son nom que comme tutrice des enfants mineurs dudit défunt et d’elle, d’une part et Laurent LESTORCEL, marchand drapier chaussetier, bourgeois de Paris.

Vue 237 à refaire pour compléter l'analyse
Vue 241 à refaire (analyse non traitée)

A plus tard

Christophe.
Última edição por cdemaz em 21 outubro 2019, 07:07, editado 1 vez no total.
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Bonjour Christophe,
cdemaz Escreveu: 06 outubro 2018, 09:56 A plus tard
Ou pas: je n'ai pas d'analyse à faire aujourd'hui ;)
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pganier Escreveu: 06 outubro 2018, 10:04 Ou pas: je n'ai pas d'analyse à faire aujourd'hui ;)
pganier Escreveu: 03 outubro 2018, 21:07 274 P
276 P
Sans parler de l'analyse de ton "Test SMART en erreur 303" :D
JD
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