Bonjour à tous,
ouf, voici mes lectures :
[65–271] Le jeudi 29 novembre 1612 – Inventaire après le décès de maître Jean DU PLESSIS, sieur de Marcy, receveur des tailles en l’élection de Laon. A la requête de noble (homme) Guillaume de LA VOLPILIERE demeurant à Paris, avec noble homme maître Charles AUBERY, avocat au grand conseil, rue et proche des Cordeliers, au nom et comme procureur de damoiselle Elisabeth AUBERY, veuve du défunt, tant en son nom que comme tutrice légitime des enfants (mineurs) d’ans dudit défunt et d’elle, procuration par-devant Maillart et Cottu, notaires royaux au bailliage de Vermandois à Laon le 6 octobre 1612. Et de noble homme maître Guillaume MARTIN, conseiller du Roi, … ordinaire en sa chambre des comptes, au nom et comme tuteur de Jean DU PLESSIS, fils mineur du défunt et de damoiselle Jeanne MARTIN, jadis sa femme en premières noces. Et en la présence de Jean de MERÉ, praticien au grand conseil, au nom et comme procureur dudit maître Charles AUBERY, subrogé tuteur desdits mineurs, habiles à hériter du défunt leur père. Les biens étant en une chambre qu’il occupait des appartenances d’une maison sise rue Jean Pain Mollet, où pend pour enseigne le Cheval Blanc.
Vue 276, cote 3 : 1603 – Inventaire par-devant Pierre Hanocque, notaire au châtelet de Tournan, après le décès de damoiselle Marguerite LE PICCART, à la requête de Claude AUBERY, sieur de la Mothe.
Vue 277, cote 13 : 1599 – Inventaire après le décès de damoiselle Michelle GUILLEMIN, première femme dudit du PLESSIS.
Vue 277, cote 14 : 1603 – Partage des biens après le décès de feue damoiselle Marguerite LE PICCART, entre Claude, Louis et Charles AUBERY, et ledit du PLESSIS, par devant Pierre Hanocque.
Vue 279, cote 28 : Inventaire après le décès de maître Jean GUILLEMIN, bailli de Bonneval.
[65–282] Le mardi 27 novembre 1612 – Inventaire des biens de leur communauté, à la requête de honorable femme Françoise LE PREUX, femme de honorable homme Guillaume COUIN l’aîné, marchand et bourgeois de Paris, y demeurant rue Saint-Martin, paroisse Saint-Laurent, et en la présence de monsieur maître Antoine Ferrant, lieutenant particulier au Châtelet, et de Germain Gouffé, substitut du procureur du Roi, de maître Claude Boucher, procureur de Guillaume COUIN le jeune, marchand demeurant à Joigny, fils aîné dudit Guillaume COUIN l’aîné et de feue Marguerite ROUDAULT jadis sa femme en premières noces (procuration du 23 octobre 1612), de Jean BARDIN, maître tissutier rubanier à Paris, y demeurant rue du Canetier ( ?), paroisse Saint-Nicolas-des-Champs, subrogé tuteur de Elisabeth, Léonard, Jean, et Antoinette COUIN, enfants mineurs d’ans dudit COUIN l’aîné et de feue Marguerite BARDIN, jadis sa femme en secondes noces. Et encore ladite LE PREUX, assistée de noble homme maître [blanc] LE PREUX, avocat en parlement, et de maître Jean ALEXANDRE, procureur audit Châtelet, son procureur. Suivant la sentences du 21 octobre et 9 novembre 1612. Inventaire outre ce qui c’est trouvé après le récolement fait les 24 et 26 de novembre 1612. Les biens étant en la maison en laquelle lesdits COUIN l’aîné et ladite LE PREUX sont demeurant, qu’en autres lieux.
Vue 288 : Ledit BARDIN, subrogé et maître Théodore LECLERC, joaillier à Paris, pour ladite veuve DOULCET, aïeule ont protesté que certains biens ont été omis à l’inventaire de la défunte BARDIN, décédé de la maladie contagieuse. Que ledit COUIN aurait baillé lesdites pierres à garder à Marin DOULCET et sa femme, aïeuls desdits mineurs.
Vue 290 : 1608 – Contrat de mariage COUIN x LE PREUX.
Vue 290 : 1608 – Inventaire après le décès de ladite Marguerite BARDIN.
Vue 290 : 1605 – Inventaire après le décès de Jean LETROP ( ?), à la requête de sa veuve, ladite LE PREUX.
Vue 308 : Guillaume COUIN, le jeune, héritier par bénéfice d’inventaire de Jean ROUDAULT son aïeul. (1610).
Etc.
A bientôt
Christophe.
