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Aide à l'indexation des inventaires de Me Cléophas Péron (1562 à 1595)

Demandes d’aide pour la lecture ou la transcription de textes anciens rédigés en français uniquement, grâce à l'entraide entre les utilisateurs de Geneanet.
cdemaz
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Inventaires de Cléophas Péron - AN ET-XCI-116 (1562-1563)

444 JD
447 JD

451 Ch
457 Ch
462 P
467 P

470 Ch
477 Ch

485 P
488 P
494 JD
498 JD

518 Ch
523 Ch

545 Ch
554 Ch

560 Ch
563 Ch

575 JD
581 JD

587 P
595 P
613 Ch
616 Ch

629 JD
633 JD
654 Ch
658 Ch
662
669
675
680
687
697

Bonjour à tous, :)

Rapidement :

[116–451] Le lundi 9 novembre 1562 – Inventaire après le décès de Marie POULLETIER. A la requête de son mari, honorable homme Jean BUTAY, maître peintre à Paris, demeurant rue Saint-Martin, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte, que comme tuteur et curateur de Suzanne, âgée de 5 ans ou environ, et Pierre BUTAY, âgé de 18 mois ou environ, leurs enfants mineurs, auxquels mineurs feu Didier POULLETIER, vivant maître peintre, était subrogé tuteur. Les biens étant en une maison et ses appartenances, sise rue Saint-Martin, où demeurait lesdits BUTAY et sa femme, comme encore y est demeurant ledit BUTAY.
Vue 455, cote 2 : 1547 – Guillaume CAUROY et Agnès BUTAY sa femme, à La Neuville en Tez (La Neuville-en-Hez, 60510 ?).
Vue 455, cote 3 : 1547 – Michel LEMERCIER, tixerand en toile et Valentin BUTAY sa femme, à la Neuville en Tez.

[116–457] Le vendredi 11 décembre 1562 – Inventaire après le décès de Pierre DUBOURDONNAY, en son vivant demeurant entre les deux portes Saint-Denis. A la requête de sa fille Louise DUBOURDONNAY, veuve de Michel NOBLET, conseiller à Paris, demeurant à la porte Saint-Denis, en son nom, et de Guillaume PYAT, faiseur de forets ( ?), demeurant ès faubourgs de Paris, hors ladite porte Saint-Denis, au nom et comme tuteur de Catherine PYAT, fille mineure d’ans de lui et de feue Jeanne DUBOURDONNAY, jadis sa femme, qui était fille du défunt. Les biens étant en la maison et lieu où était demeurant ledit défunt.

Christophe.
Última edição por cdemaz em 23 fevereiro 2020, 18:00, editado 6 vezes no total.
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Bonjour,

[116–462] 12 novembre 1562 - Inventaire après le décès de Gillette TURPIN, à la requête d'honorable homme François HUBERT, marchant drapier, maître chapelier, bourgeois de Paris, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernières volontés de ladite défunte jadis femme en premières noces de Philippe de BEGNYNES (BENIGNES), et auparavant veuve de feu Philippe DUFOUR, en leur vivant marchands bourgeois de Paris, et appelés les habiles à être héritiers de ladite défunte que sont Jean ORANT et sa femme, Pierre DUMONT et sa femme.
En une maison sise à Paris, rue Saint-Martin, où est pour enseigne L'Écu de Lorraine.

[116–467] 5 décembre 1562 - Inventaire après le décès de Simone LE ROUX, femme et depuis veuve de feu Guillaume HENRY, à la requête de Guillaume BOULLART, laboureur de vigne, demeurant à la Courtille lès Paris, et François GOURDIN, aide de maison, comme exécuteur du testament et ordonnance de dernières volontés de ladite défunte.

Bonne journée ;)
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Bon matin à tous,

[116 - 444] 9 décembre 1562 – Inventaire dressé après le décès de feu Rachel LE GRAIS, manouvrier demeurant rue Saint-Sauveur, en une maison où pend pour enseigne le Soufflet, à la requête de Pierre LE LORRAIN, couturier demeurant à Paris, rue Guillaume-Josse (= rue des Trois-Maures), au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt.

[116 - 447] 24 ? 1562 – Inventaire dressé après le décès de feu Mathieu FORTIER, maître chandelier de suif à Paris, à la requête d’honorables personnes sa veuve Jeanne BLASTRIER, en son nom, Jean TARGER, marchand bourgeois de Paris, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté dudit défunt, et de Fourcy ALLART, sergent à verge du Roi en son Châtelet de Paris, au nom et comme tuteur et curateur créé et ordonné par justice, comme il a dit, aux personne et biens de Marie FORTIER, âgée de 20 mois ou environ, fille mineure desdits défunt et veuve.
Les biens étant en une maison assise rue Saint-Denis, devant le Petit-Hurleur (rue du Petit-Hurleur), près et joignant la maison où est pour enseigne le Coq-et-la-Pie.

Le Petit ???
Screenshot_2020-02-21 AN ET-XCI-116 1562 - 1563 Paris (Paris, France) - Geneanet.png
À plus tard
JD
cdemaz
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Bonjour à tous, :)

@ JD : je crois lire le Petit Lyon Huleu (Hurleur ?).

Voici les miens :

[116–470] Le jeudi 26 novembre 1562 – Inventaire après le décès de Madeleine BOUVIER. A la requête de son mari, Louis de BREBAN, maître savetier à Paris demeurant rue du Temple en une maison où est pour enseigne l’Épée de bois, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte. Et à la conservation des droits des enfants de la défunte. Les biens étant en ladite maison de L’Épée de bois, en laquelle la défunte était décédée, et où elle était demeurant.

[116–477] Le samedi 5 septembre 1562 – Inventaire après les décès de Marie HUART, femme en dernières noces de feu maître Calixte ( ?) de ROUSSELLE, en son vivant avocat en parlement. A la requête de honorable homme maître Jean HUART, procureur au Châtelet de Paris, tant en son nom comme habile à se dire, porter et déclarer héritier quant aux meubles et conquêts immeubles de la défunte sa fille, que comme exécuteur du testament dudit défunt ROUSSELLE, qui serait décédé peu après ladite HUART. Les biens étant en une chambre garnie et bouge du corps d’hôtel sur le derrière, où lesdits défunts sont décédés et où ils étaient demeurant, étant des appartenances d’une maison sise rue aux Ours (Oues), où est demeurant ledit HUART.
Vue 483 : Papiers concernant feu maître Jean THUAULT, en son vivant second mari de la défunte HUART.

A plus tard.
Christophe.
cdemaz
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Re,

une autre paire, avec une date mystère :

[116–518] Le mercredi (10) mars 1563 (n. st.) – Inventaire après le décès de Nicolas (Nicole) HAVART le jeune, procureur au Châtelet de Paris. A la requête de Louis HAVART, avocat en parlement au Châtelet de Paris, au nom et comme exécuteur du testament du défunt son frère. Et en la présence de honorable femme Françoise DOSSEROT, veuve dudit défunt HAVART. Suivant certaine sentence de monsieur le prévôt de Paris ou son lieutenant civil le 28 novembre 1562. Les biens étant tant en une maison sise rue Quincampoix, où était demeurant ledit défunt HAVART, et où il est décédé, qu’autres lieux.
Vue 521, cote 1 : 1560 – Contrat de mariage Nicolas HAVART x Françoise DOSSEROT.

Pour la date je pensais lire mars 1562, mais la sentence me contredit : 28 novembre 1562 dernier passé. Et si le mois de l’acte est novembre il n’y a pas de mercredi après le 28 ? ?
Et la date inscrite en haut de la vue 521 n’aide pas : …xii jour dudit mois ensuivant audit an 1562.
Vue 521, cote 5, il y a une cédule daté du 22 novembre 1562, l’inventaire est donc postérieur à cette date.
Edition : bon sang mais c'est bien sûr : mars 1562 (1563 n. st.) comment n'y ai-je point pensé :roll:

[116–523] Le vendredi 20 novembre 1562 – Inventaire après le décès de maître Jean BAUDOUYN, prêtre. A la requête de honorable homme maître Pierre AUBRY, procureur au Châtelet de Paris et Guillemette BAUDOUYN sa femme, en leurs noms à cause de ladite femme, et encore ledit AUBRY comme tuteur et curateur de Durant BAUDOUYN ; de honorables personnes Nicolas DOULTRELEAU, marchand et bourgeois de Paris Oudette (Odette) BAUDOUYN sa femme ; maître Médéry (Médéric) REMY, procureur et clerc au greffe du Châtelet de Paris et de Jacqueline BAUDOUYN sa femme. Lesdites femme et Durant BAUDOUYN, frère et sœurs héritiers du défunt leur frère. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Saint-Jacques, où est pour enseigne la Cloche Rouge, près le Grand Cerf, en laquelle maison était demeurant ledit défunt et où il est décédé.
Vue 534 : Un bahu appartenant à frère François BAUDOUYN, religieux.

Grâce à la copie analysée par JD

@ plus
Christophe
Última edição por cdemaz em 23 fevereiro 2020, 08:51, editado 1 vez no total.
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cdemaz Escreveu: 22 fevereiro 2020, 09:07 Edition : bon sang mais c'est bien sûr : mars 1562 (1563 n. st.) comment n'y ai-je point pensé :roll:
:) :)
cdemaz Escreveu: 22 fevereiro 2020, 07:43 @ JD : je crois lire le Petit Lyon Huleu (Hurleur ?).
Bravo Christophe, je voyais un Y en initiale, mais ta lecture et ton interprétation sont les bonnes, puisque la rue du Petit-Hurleur donne sur la rue St-Denis, et qu'originellement, elle s'appelait la rue du Petit-Heu-Leu.
JD
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Bonjour

Je suis avec vous!:

[116-485] 29 décembre 1562 - Inventaire après le décès de Robert BERNARD, à la requète de Marie FAUVEAU.

Bon appétit ! ;)
cdemaz
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Re re,

le suivant ne nous apprend rien de plus que le précédent:

[116–545] Idem [116–523]

[116–554] Le lundi 12 octobre 1562 – Inventaire après le décès de Jean VILLAIN, marchand mercier à Paris. A la requête de Jeanne ROUSSEAU, sa veuve, tant en son nom que comme tutrice et curatrice de Anne, Perpette et Perrette VILLAIN. Et aussi en la présence et requête de Nicolas CYDOINE, compagnon tailleur de drap à Paris, subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant en une chambre où ladite veuve est demeurant, étant des appartenances d’une maison sise rue Saint-Martin, devant le posteau.

A plus.
Christophe.
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Ma contribution matinale :

[116 - 494] ? avril 1562 – Inventaire dressé après le décès de feue Claude FONTAINE, à la requête de son veuf Benoît PICOLIN, praticien demeurant rue Saint-Sauveur, tant en son nom que comme ayant payé les obsèques et funérailles de la défunte, et encore comme tuteur légitime et ayant la charge, gouvernement et administration des personne et biens de leur fils mineur Claude PICOLIN, âgé de 4 ans et demi ou environ.
Les biens étant en une maison assise en ladite rue Saint-Sauveur en laquelle est pour enseigne la Cuillère-de-Bois.

[116 - 498] 10 mars 1563 (n. st.) – Inventaire dressé après le décès de feu maître Nicole HAVART, procureur au Châtelet de Paris, à la requête de son frère maître Louis HAVART, avocat audit Châtelet, au nom et comme exécuteur du testament et ordonnance de dernière volonté du défunt, et en la présence d’honorable femme Françoise DOSSEROT, veuve dudit défunt.
Les biens étant en une maison assise rue Quincampoix et en autres lieux.
(vue 513) contrat de mariage.

Bonne journée et à bientôt
JD
cdemaz
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Bon dimanche les amis, :)

@ JD : pour le 498 il est à rapprocher du 518, il faut donc lire mercredi 10 mars 1563 (n. st.), et non 1562 ;-)
Pour le 494, je n’ai pas trouvé le millésime de l’année, mais je lis avril après P(âques) mil cinq cent soixante … (1562 ou 1563 ?)
Je pense plutôt à 1563 après Pâques. Qu'en penses-tu ?

Encore un doublon :

[116–560] idem [116–554]

[116–563] Le lundi 14 décembre 1562 – Inventaire après le décès de Jean LEGROS, maître boulanger à Paris, et mesureur de charbon en cette ville. A la requête de honorable femme Denise DECHON, sa veuve, en son nom. Et aussi à la requête et présence de honorable homme Pierre BREBION, maître chandelier de suif et huilier de cette ville de Paris, cousin germain du côté maternel dudit défunt LEGROS, et habile à se dire seul héritier du défunt. Les biens étant en une maison appartenant audit défunt, et des appartenances d’icelle, sise rue de la Licorne, en laquelle le défunt serait décédé, et où est demeurant icelle veuve.
Vue 568, cote 1 : 1557 – Contrat de mariage LEGROS x DECHON. Etienne LECLERC, comme tuteur et stipulant pour la future.
Vue 569, cote 2 : 1482 – Honoré LEGROS, marchand boulanger à Paris. Achat d’une maison rue de la Juiverie.
Vues 570-571, cote 3 : 1508 – Vente par Michelle LEGROS, femme de Jean …, marchand huilier chandelier, à Pierre LEGROS, frère de ladite Michelle, en son vivant marchand boulanger, bourgeois de Paris, père dudit Jean LEGROS, du quart par indivis d’une maison sise rue de la Juiverie, près l’église de la Madeleine.
Vue 570, cote 4 : 1508 – Guillaume MABOURNE, tuteur et curateur de Marion LEGROS, fille mineure de feu Honoré LEGROS, marchand boulanger et bourgeois de Paris, héritière pour un quart d’icelui défunt Honoré LEGROS, Vente à Pierre LEGROS de son propre de ladite maison sise rue de la Juiverie.
Vue 572, cote 10 : 1557 – Inventaire après le décès de Guillemette de LA FILACHE (de LA FILASCHE), à la requête de honorable homme Jean LEGROS, marchand mesureur de charbon, bourgeois de Paris demeurant rue de la Licorne, tant en son nom que comme exécuteur du testament de la défunte jadis sa femme.

A bientôt
Christophe.
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Bonjour,

Voilà ce matin, avec une précision manquante:

[116–488] 30 mars 1563 (n. st.) - Inventaire après le décès de Jeanne HENRY, à la requête d'honorable homme Urbain TROTIN, maître barbier chirurgien à Paris, demeurant rue Saint-Martin, devant et à la porte de la rue aux Ours, tant en son nom que comme tuteur créé et ordonné par justice aux personnes et biens de Nicole TROTIN âgée de 3 ans, fille mineure d'ans de lui et de ladite défunte jadis sa femme, et en la présence d'honorable homme Thomas DUBOYS, maître armurier à Paris, demeurant rue de la Heaumerie, oncle à cause de sa femme d'icelle mineure et subrogé tuteur de ladite mineure.

Bon dimanche, au chaud ;)
Anexos
saintmartin.png
Última edição por pganier em 23 fevereiro 2020, 13:16, editado 1 vez no total.
jeanpaumelinon
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Bonjour Pascal,
ce me semble être la Rue aux Oues ou aux Ours
Cordialement
Jean Paul
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cdemaz Escreveu: 23 fevereiro 2020, 08:50 @ JD : pour le 498 il est à rapprocher du 518, il faut donc lire mercredi 10 mars 1563 (n. st.), et non 1562 ;-)
Moi aussi je tombe dans le panneau :o :D
cdemaz Escreveu: 23 fevereiro 2020, 08:50 Pour le 494, je n’ai pas trouvé le millésime de l’année, mais je lis avril après P(âques) mil cinq cent soixante … (1562 ou 1563 ?)
Je pense plutôt à 1563 après Pâques. Qu'en penses-tu ?
La question est : pourquoi / comment ce document s'est-il trouvé classé dans cette liasse ? Jusqu'à présent, tous ceux que j'ai vu portaient l'année 1562 (a. st.) ; si le classement est très ancien, c'était peut-être aussi le cas de celui-ci. Et "après Pâques" 1562, c'est alors 1562 plutôt que 1563. Mais tout cela n'est qu'hypothèses...

C'est encore mieux en mettant bien les choses au point : en 1562, il y eu 13 jours "doubles" : ceux du 29 mars (Pâques 1562) au 10 avril (veille de Pâques 1563).
Pour ces 13 jours, il fallait donc préciser "après Pâques [1562]" (ceux du début, donc 1562 n. st.) vs. "avant Pâques" (ceux de la fin, donc 1563 n. st.).

Du coup "après" c'est avant, et "avant", c'est après !! :lol:
Oufff...
JD
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Allez, la suite :

[116 - 575] 18 Janvier 1563 (n. st.) – Inventaire dressé après le décès de feu Robert LE MAREGUYER, maître fripier à Paris, qui serait décédé ainsi que sa femme Denise ( ) et ses enfants en octobre 1562, mais qui aurait été héritier quant aux meubles de ses enfants qui auraient survécu à leur mère, à la requête de son père honorable homme Guillaume LE MAREGUYER, tailleur d’habits suivant la cour, étant de présent à Paris, habile à se dire et déclarer héritier du défunt.
Les biens étant en une maison en la friperie devant la Corne-de-Cerf.

[116 - 581] 20 octobre 1562 – Inventaire dressé après le décès de feu Jean LE CONTE, maître vinaigrier bourgeois de Paris, à la requête de sa veuve Jeanne DE MAILLY, tant en son nom que comme exécutrice du testament et ordonnance de dernière volonté dudit défunt, et aussi à la requête et présence de Madeleine HUBERT, veuve de feu Pierre LE CONTE, maître bonnetier à Paris, aussi tant en son nom, comme habile à se dire, déclarer et nommer héritière quant aux meubles et conquêts immeubles dudit défunt son fils, que comme exécutrice avec ladite DE MAILLY de son testament.
Les biens étant en une maison assise rue des Gravilliers, où est pour enseigne la Corne-de-Cerf.

À bientôt.
JD
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Bonsoir à tous,

[116–613] Le mercredi 17 février 1563 (n. st.) – Inventaire après les décès de Claude SOLLIOT (SOLLYOT, SOLIOT) et Marguerite HATTON, décédée dès le mois d’août 1562 de maladie. A la requête de Marguerite DOULLET, veuve de feu Simon PIGNERT, et auparavant veuve de feu Cardin SOLLYOT, aïeule paternelle de Guillemette SOLLIOT, fille mineure et héritière de défunt Claude SOLLIOT, maître maçon et bourgeois de Paris demeurant rue des Gravilliers, et de feue Marguerite HATTON en son vivant femme dudit Claude SOLIOT. Ladite Marguerite DOULLET au nom et comme exécutrice des testaments desdits défunts Claude SOLYOT et Marguerite HATTON, et encore comme ayant la charge, gouvernement et administration aux personnes et biens de ladite Guillemette SOLLYOT sa petite fille. Les biens étant en une maison sise à Paris, rue Trousse-Nonnains, où pend pour enseigne l’Image Saint-Martin, où est à présent demeurant ladite veuve.

[116–616] Le mardi 7 avril 1562 après Pâques – Inventaire après le décès de Guillaume ROUSSEAU, maître potier de terre, bourgeois de Paris. A la requête de honorable femme Marie CAMUSET, sa veuve, tant en son nom que comme exécutrice du testament du défunt, que comme tutrice et curatrice de Guillaume, Ursule, Denis, et Benoît ROUSSEAU, leurs enfants mineurs. Et aussi à la requête et présence de Jean de MASSE, maître verger raquettier, bourgeois de Paris, en son nom à cause de Marie ROUSSEAU sa femme, et de Claude GENDRE, maître potier d’étain, bourgeois de Paris, aussi en son nom à cause de Noëlle ROUSSEAU sa femme, et encore en la présence de François ROUSSEAU, maître potier de terre, bourgeois de Paris, oncle et subrogé tuteur desdits mineurs. Lesdits Marie, Noëlle, et mineurs, enfants et héritiers du défunt leur père. Les biens étant en une maison et ses appartenances rue Saint-Martin, où le défunt est décédé, et en laquelle ladite veuve est demeurant.
Vue 626, cote 2 : 1556 – Constitution par Louise RICHER, femme d’Antoine CAMUSET, maître couvreur de maison à Paris, audit Guillaume ROUSSEAU et à Jean CAMUSET, maître couvreur de maison à Paris, chacun par moitié d’une rente.
Vue 627, cote 5 : 1559 – Contrat de mariage Jean de MASSE x Marie ROUSSEAU.
Vue 627, cote 6 : 1561 – Contrat de mariage Claude GENDRE x Noëlle ROUSSEAU.

Bonne fin de WE.
Christophe.
Última edição por cdemaz em 24 fevereiro 2020, 07:06, editado 1 vez no total.
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