Aide à l'indexation des inventaires de Me Martin Delacroix (1626-1647)

[bertrandg]

https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=40586
Inventaires de Martin Delacroix - AN ET-XLI-131 (1626-1628)

...
386 B
397 Ch
440 Ch
460 JD
470 JD
493 B

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=40587
Inventaires de Martin Delacroix - AN ET-XLI-132 (1628-1633)

1 JD
7 JD
13 B
18 JD
23 JD
31 Ch
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91 B
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173 Ch
178 Ch
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235 Ch
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271 Ch
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288
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349
358

http://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=40588
Inventaires de Martin Delacroix - AN ET-XLI-133 (1630-1632)

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Allez, le petit nouveau du jour :

[132 - 13] 6 février 1626 - Inventaire après le décès de feu Denis DEBEAUMONT, maître potier de terre, à la requête de Madeleine BRANDIN, sa veuve, demeurant à Paris, rue des Petits Carreaux, paroisse Saint-Sauveur, tutrice de leurs enfants mineurs. En la présence de Leger DELAULNAY, potier de terre à Paris, subrogé tuteur des mineurs.
(vue 16) Antoine HARDY, maître potier de terre, accordé de ladite veuve par contrat de leur mariage passé entre eux devant les notaires soussignés.

Pour la rue, on lit très lisiblement des petits Carneaulx, mais la seule rue qui pourrait correspondre est la rue du Petit Carreau ? Qu'en disent les spécialistes des rues de Paris ?
Grâce aux lumières de Jean Paul, j'opte pour carreaux.

Bertrand

[jeanpaumelinon]

Bonjour Bertrand,
En fait c'est la même chose :

La rue des Petits-Carreaux est antérieure au xiiie siècle. Initialement partie de la rue Montorgueil, elle devient une rue à part entière au xviie siècle. Elle est citée sous le nom de « rue des Petitz Carneaulx » dans un manuscrit de 1636 puis la forme « rue du Petit Carreau » apparaît sur de nombreux actes officiels des xviiie et xixe siècles. (source wikipedia)
J'ajoute qu'elle est située sur le territoire de cinq paroisses: Saint Eustache (zone près de la rue Montorgueil), Saint Germain l'Auxerrois (zone près de la rue de la Limace), Saint Marcel (zone près de la rue de Lourcine), Saint Sauveur (zone près de la rue de la Corderie) et Saint Séverin (zone de la rue de la Bucherie)

[bertrandg]

Merci Jean Paul, très complet !
Du coup, je laisse rue des petits Carneaux dans l'analyse ou je remplace par la version moderne rue du Petit Carreau ?

Bertrand

[jeanpaumelinon]

Pas si complet que cela, j'ai oublié de noter que la rue existe avant le XIII° siècle et qu'elle tire son nom d'un commerce qui avait pour enseigne des Petits Carreaux (probable référence à une mosaïque). Il y a une seconde origine qui a été avancée selon laquelle elle porte le nom d'un groupe de maisons qui étaient appelées ainsi (mais cette origine est très contestée notamment car elle viendrait du pavement des rues qui n'existait pas au XIII° siècle).

Pour ce que tu écris, c'est toi qui choisis!
L'intérêt pour les futurs lecteurs de l'indexation étant géographique et donc devant permettre de situer la maison sur un plan de l'époque, il me semble mieux de laisser carreaux qu'on retrouve le plus souvent sur les plans. Si l'on cherche des renseignements sur cette maison, peut-être que des bribes d'archives paroissiales de Saint Sauveur contiennent des renseignements...

[bertrandg]

Bonjour,

pour aujourd'hui, je propose :

[132 - 83] 28 mars 1626 - Inventaire après le décès de feu Maître Guillaume de RUFFIN, huissier du Roi en la prévôté de l'hôtel de sa Majesté, à la requête de honnête femme Anne DELISSE, sa veuve, demeurant rue et paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois en la maison d'un boulanger de petit pain, tutrice de leurs enfants mineurs. En la présence de Sr Etienne de RUFFIN, sieur de la Fontaine, demeurant à Paris, rue Tireboudin, paroisse Saint-Sauveur, subrogé tuteur des mineurs. Inventaire fait dans l'hôtel ou le défunt est décédé de maladie contagieuse en 1624.
(vue 89) cote 8 : 26 avril 1604 - contrat de mariage de Guillaume de RUFFIN et Anne DELISSE.

Bonne journée à tous.

Bertrand

[alachaud]

Bonjour les amis,

Au menu aujourd'hui:

[132–98] 7 avril 1629 - Inventaire après le décès de Jacques BOULAY / BOULLAY / BOULLET, maître peigneur-tablettier à Paris, à la requête de Marie DUPRÉ, sa veuve, elle demeurant rue de la Savaterie à l’enseigne de la Fontaine, paroisse Saint-Germain-le-Vieil, tant en son nom que comme tutrice d’Antoine, âgé de 7 ans, de Marie, âgée de deux ans et de Charles BOULAY / BOULLAY / BOULLET, âgé de 8 mois, les tous ou environ, leurs enfants mineurs, héritiers de leur défunt père , et en la présence de René BOULAY / BOULLAY / BOULLET, maître bonnetier, demeurant ès faubourgs Saint-Marcel, grande rue Mouffetard, paroisse Saint-Marcel, subrogé tuteur desdits mineurs.

Amicalement,

Anthony

[jdp1]

Les deux du jour :

[132 – 18] 16 février 1628 – Inventaire dressé après le décès de défunte Jeanne MACHUEL, à la requête de son veuf Nicolas LEFEBVRE, bourgeois de Paris, demeurant dans l’Île du Palais, place Dauphine, paroisse Saint-Barthélémy, en la maison où est pour enseigne le Dauphin, tant en son nom, à cause de leur communauté, que comme donataire mutuel d’icelle défunte.

[132 – 23] 17 février 1628 – Inventaire dressé après le décès de défunte dame Marie DANTISSANT / DAUTISSANT, à la requête de son veuf noble homme Me Jean MILOT, chirurgien ordinaire de la Reine, docteur en chirurgie et chirurgien de l’Hôtel-Dieu de Paris, demeurant rue Neuve-Notre-Dame, paroisse Saint-Christophe, tant en son nom, à cause de leur communauté de biens, que comme tuteur de leurs enfants mineurs Nicolas, âgé de 7ans et demi, André, de 2 ans, et Huguette MILOT, de 3 ans, habiles à se dire, porter et nommer héritiers d’icelle défunte, et en la présence de noble homme Me Nicolas DANTISSANT, avocat en la cour de parlement, demeurant ès faubourgs de Paris, hors la porte Saint-Michel, aïeul maternel et subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant, tant en la maison en laquelle la défunte est décédée, où ledit MILOT est demeurant, en la rue Neuve-Notre-Dame, qu’en une autre maison où ledit MILOT et sa-dite femme ont ci-devant fait leur demeure, sise rue de la Herse, que ledit MILOT tient à loyer et tiendra jusqu’à Pâques 1628.

Bonne fin de soirée.

[cdemaz]

Bonjour à tous,

voici mes lectures :

[132–31] Le vendredi 20 février 1626. Inventaire après le décès de honorable homme Philippe PASSART, bourgeois de Paris. A la requête de dame Marie BAUDART, sa veuve, demeurant rue des Lavandières, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, et noble homme Guillaume PASSART, conseiller du Roi et contrôleur général de ses gabelles et finances en Languedoc, demeurant rue et paroisse dudit Saint-Germain-l’Auxerrois, au nom et comme exécuteurs ensemble du testament du défunt. Et en la présence de dame Françoise PASSART, veuve de noble homme Nicolas VEDEAU, aussi (conseiller) du Roi et contrôleur général desdites gabelles et finances en Languedoc, et de noble homme maître Jean VIOLETTE, secrétaire de monseigneur le prince de Condé, demeurant en ladite rue des Lavandières, en ladite maison où ledit défunt PASSART était demeurant, au nom et comme tuteur des enfants mineurs de lui et de feue damoiselle Anne PASSART, jadis sa femme. Lesdits sieur Guillaume, Françoise PASSART et lesdits mineurs par représentation de ladite Anne PASSART leur mère, habiles à se dire et porter héritiers du défunt leur père et aïeul desdits mineurs.
(vue 40) cote 1 : 1592 – Contrat de mariage PASSART x BAUDART. Ledit Philippe PASSART, veuf de dame Catherine DAUVERGNE, tuteur de Guillaume et Françoise PASSART, enfants mineurs de lui et de ladite Catherine DAUVERGNE. Ladite Marie BAUDART, alors veuve de maître Jean SERALLIER, avocat en Parlement. Les biens étant en la maison de Paris et en une maison sise au village du Roulle.
(vue 41) cote 2 : 1592 – Inventaire après le décès de noble homme maître Jean SERALIER, avocat au conseil d’état du Roi et en la cour de Parlement à Paris, tant en son nom et comme tutrice de Marie SERALIER, leur fille unique et seule héritière du défunt.
(vue 64) cote 62 : 1597 – Partage entre honorable homme Michel PASSART, Guillaume LEROUX et Françoise PASSART, sa femme, Guillaume PASSART et ledit Philippe PASSART, d’une maison sise au Village d’Ognes (60440) en Multien, de la succession de feue Marthe AUBOUT leur mère. Etc.

[132–73] Le jeudi 12 mars 1626. Inventaire après le décès de dame Marie AUVERY (AUVRY). A la requête de son mari séparés de biens, Claude BASTARD, écuyer, sieur des Viervilles, huissier ordinaire de la chambre du Roi demeurant à Paris, rue et paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, en la maison où est pour enseigne la Tour d’Argent, au nom et comme tuteur de leurs enfants mineurs. Et en la présence de honorable homme Raoulin AUVERY, marchand et bourgeois de Paris, subrogé tuteur desdits mineurs, et de dame Marie CHARRUAU, aïeule desdits mineurs. Les biens appartenant à la succession de la défunte étant en deux chambres l’une proche de l’autre au deuxième étage de la maison de la Tour d’Argent.
(vue 79) cote 1 : 1610 – Contrat de mariage BASTARD x Marie AUVRY. Quittance à dame Marie CHARRUAU, veuve en dernières noces de maître Bernard de VAUTON, commis à l’exercice du scel du Châtelet de Paris et auparavant de honorable homme Raoulin AUVRY.

Merci Bertrand pour la confirmation de VEDEAU. Et non je n'ai pas encore récupéré mon PC. Mon fils s'en occupe ce week end. Inch Allah

A plus tard,
Christophe.

[bertrandg]

Au passage, Anthony, tu as oublié d'établir le lien dans le dernier que tu as traité
Pour Christophe : je lis aussi VEDEAU, sans trop de doute.

A noter pour moi aujourd'hui :

[132 - 91] 25 mai 1626 - Inventaire après le décès de feu Eloy DETHIERS, maître tailleur d'habits à Paris, à la requête de Marthe MAISTREYAN, sa veuve, demeurant rue de Bethisy, paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, tutrice de leurs enfants mineurs. Ausi à la requête de honnête homme Jacques MOREAU, bourgeois de Paris, demeurant rue St-Honoré en la maison où pend pour enseigne La Seraine, paroisse Saint-Germain l'Auxerrois, tuteur de Madeleine et Denise DETHIERS, enfants mineurs du défunt et de feue Anne MOREAU, jadis sa première femme. En la présence de Pierre GRANDVALLET, maître maréchal à Paris, subrogé tuteur desdits enfants mineurs et de ladite MESTREYAN et de noble Pierre MOREAU, secrétaire de la chambre du Roi, demeurant en ladite rue de Bethisy, subrogé tuteur des enfants mineurs du défunt et de ladite défunte Anne MOREAU.
(vue 97) cote 3 : 13 octobre 1616 - contrat de mariage d'Eloy DETHIERS et Marthe MESTREYAN.
cote 4 : 28 septembre 1613 - inventaire après le décès de feue Anne MOREAU, à la requête d'Eloy DETHIERS son mari, tuteur de Madeleine et Denise leurs filles mineures.

Bonne journée

Bertrand

[alachaud]

Au passage, Anthony, tu as oublié d'établir le lien dans le dernier que tu as traité

Merci patron, c'est désormais chose faite.

Ce n'était pas vraiment un oubli mais de la fainéantise. Je ne comprends pas que ce soit si compliqué de faire un hyperlien sur ces forums

Amicalement,

Anthony

[jdp1]

Je ne comprends pas que ce soit si compliqué de faire un hyperlien sur ces forums
Anthony

On t'invite à découvrir le copier-coller, gentil modérateur

[cdemaz]

Bonsoir à tous,

je tiens à signaler qu'il reste encore quelques actes dans la liasse 132 après l'inventaire 178 ...

[132–173] Le lundi 23 juillet 1629. Inventaire après le décès de Marie DUBELLAY. A la requête de son mari, Jacques SAVART, maître piquetier (peignier) tabletier demeurant à Paris, rue de la Savaterie, paroisse Saint-Germain-le-Vieil, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs. Et en la présence de honorable homme André DUBELLAY, marchand laitier demeurant à Paris, au cloître et paroisse Sainte-Opportune, subrogé tuteur. Les biens étant en une chambre en laquelle ledit SAVART est demeurant, au deuxième étage de derrière de la maison où est pour enseigne l’Image Saint-Michel, en ladite rue de la Savaterie.

[132–178] Le 1er août 1629. Inventaire après le décès de monsieur maître Jean DESTRAPPES, seigneur de Précy, Besses et autres lieux, conseiller du Roi en sa cour de Parlement. A la requête de damoiselle Marie MORIN, veuve de noble homme Jean CHARON, sieur des Renevilliers, avocat au conseil privé du Roi, demeurant à Paris, rue Jean Lantier, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, au nom et comme tutrice des enfants mineurs du défunt sieur DESTRAPPES, et de damoiselle Marguerite CHARON, jadis sa femme, et à présent sa veuve, à ce présente, en son nom à cause de la communauté qu’elle a eu avec le défunt. Et en la présence de maître Antoine DESTRAPPES, chevalier seigneur de Saint-Benin-des-Bois (58330), Neufville et autres lieux, étant de présent à Paris, logé au bout du pont-Neuf, paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, aïeul paternel et subrogé tuteur desdits mineurs. Les biens étant ès lieux qu’il occupait de son vivant et qui sont de présent encore occupés par ladite damoiselle, des appartenances de la maison où est demeurant mademoiselle CHARON, leur mère, et en une maison appartenant à ladite damoiselle Marguerite CHARRON, sise au village de Montreuil sur le bois de Vincennes.
(vue 195) cote 1 : 1621 – Contrat de mariage Jean DESTRAPPES x Marguerite CHARRON. Jean CHARRON sieur de Renevilliers et Marie MORIN, père et mère de la future donnent 60 000 livres en avancement d’hoirie. Antoine MORIN, oncle de ladite Marguerite MORIN.
(vue 198) cote 3 : 1621 – Acte entre monsieur maître Henry MORIN, sieur de Laborde, conseiller du Roi en sa cour de Parlement, et ledit sieur de Précy.
(vue 204) cote 10 : 1621 – Transaction entre Nicolas PATOILLAT, marchand bourgeois de Paris d’une part et Nicolas MORIN, chevalier sieur de la Basine, gouverneur et bailly de Bl…, maître Henri MORIN, sieur de la Borde, conseiller du Roi en sa cour de Parlement, damoiselle Madeleine MORIN, leur sœur, majeure usante et jouissante de ses droits.
(vue 205) cote 11 : 1621 – Antoine DESTRAPPES donne cède et transporte en avancement d’hoirie à Jean DESTRAPPES son fils la terre et seigneurie de Précy le Couldray Soulevin et les biens leurs appartenant sis en Berry, coutume de Lorris (château et maison forte, garnis de meubles, haute moyenne et basse justice, etc.).
(vue 207) cote 12 : 1621 - Léonard DESTRAPPES donne audit sieur de Précy son neveu, la terre et seigneurie de Besses. Les maisons et autres droits que ledit seigneur donateur avait et lui restait en la ville de Nevers par les successions de défunts Jean DESTRAPPES son père, dame Jeanne OLIVIER, jadis sa femme, mère dudit seigneur, et de dame Antoinette LESPERON son aïeule.
Etc.

A plus tard
Christophe.

[bertrandg]

Merci de me l'avoir signalé Christophe. Au fait, as-tu récupéré ton 397 de la liasse précédente qui est resté en suspens ?

Bonne journée

Bertrand

[cdemaz]

Bonjour à chacun,

deux petits ce matin :

[132–235] Le vendredi 19 octobre 1629. Inventaire après le décès de Jeanne BOULLIER. A la requête de son mari, Antoine BAUDET, concierge des greniers à sel de Paris, demeurant rue et paroisse Saint-Germain-l’Auxerrois, tant en son nom que comme tuteur légitime de Marie BAUDET, leur fille mineure. Et en la présence de maître Guillaume MALERBE (signe MALHERBE), huissier audit grenier à sel, ami dudit BAUDET et de sadite fille, pour le défaut d’un subrogé tuteur. Les biens étant en l’un des bouts desdits grenier à sel.

[132–239] Le vendredi 26 octobre 1629. Inventaire après le décès de Charlotte DUMEUR, veuve de Lambert ALLAIRE, huissier sergent à cheval au Châtelet de Paris, et séparée de biens d’avec lui. A la requête de maître Pierre DUMEUR, bourgeois de Paris, y demeurant rue Saint-Honoré, paroisse Saint-Eustache, au nom et comme ayant été créé curateur de la défunte Charlotte DUMEUR, sa sœur, et aussi comme curateur créé par justice à la personne et biens de Catherine DUMEUR, veuve de François de CAMBRAY, marchand apothicaire et épicier, bourgeois de Paris. Lesdits Pierre et Catherine DUMEUR, frère et sœur, et habiles à se dire et porter héritiers de la défunte leur sœur. Les biens étant en une petite chambre en laquelle elle faisait sa demeure au second étage ayant vue sur la rue Saint-Honoré, de la maison en laquelle ledit DUMEUR est demeurant, où est pour enseigne le Petit-Palais, sise rue Saint-Honoré, faisant le coin de la rue de la Tonnellerie.

A plus tard
Christophe.

[jdp1]

Plus deux :

[132 – 105] 28 mai 1629 – Inventaire dressé après le décès de défunt honorable homme Ozias BEGUY / BEGNY, marchand pourvoyeur, à la requête d’honorable homme Claude BEGUY, marchand pourvoyeur de la maison de Monseigneur frère du Roi, demeurant rue des Petits-Carneaux, paroisse Saint-Eustache, habile à se dire et porter héritier en partie du défunt, et encore créancier de la succession dudit défunt, en la présence d’honorable femme Jeanne GASTELLIER, veuve dudit défunt, séparée quant aux biens d’avec lui, aussi créancière dudit défunt et pareillement comme tutrice de Denis, Catherine, Anne, Guillaume et Marguerite BEGUY, enfants mineurs dudit défunt et d’elle, habiles à se dire et porter héritiers dudit défunt, et aussi en la présence de Martin Collinnet, procureur au Châtelet de Paris, procureur de Me Guillaume Le Masson, aussi procureur audit Châtelet, créancier dudit défunt, et en l’absence d’honorables personnes François RAFFARD, aussi marchand pourvoyeur de Monseigneur frère de sa Majesté et d’Isabelle BEGUY sa femme, habiles à se dire aussi héritiers dudit feu BEGUY, et pareillement ledit RAFFARD subrogé tuteur desdits mineurs.
Les biens étant, tant en la maison où ladite veuve demeure, en la rue de Montmartre, qu’en celle où lesdits RAFFARD et sa femme demeurent, rue du Bout-du-Monde, paroisse Saint-Eustache.
(vue 110) cote 6 : 1626 - transport ; Catherine GASTELIER, femme de Me Pierre MANCEL, sœur de ladite Jeanne GASTELIER.

[132 – 167] 18 juin 1629 – Inventaire dressé après le décès de feue Germaine CORBILLY, à la requête de son veuf Philippe DUVAL, écrivain juré à Paris, demeurant rue Tirechappe, paroisse Saint-Germain-l'Auxerrois, tant en son nom, à cause de leur communauté, que comme tuteur de leurs enfants mineurs, en la présence d’honorable homme Thomas BECCASSE, huissier du Roi ès eaux et forêts de France, demeurant rue de la Bûcherie, paroisse Saint-Étienne-du-Mont, subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 172) cote 1 - contrat de mariage entre lesdits Philippe DUVAL et Germaine CORBILLY.

Bonne soirée à tous.