Inventaires de Claude Trouvé - AN ET-CVII-99 (1599-1606)
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Bonjour à tous,
ce matin je vous propose :
[99–195] Le lundi 5 (avril ou juillet) 1599. Inventaire après le décès de damoiselle Anne GASTINOIS. A la requête de son mari, monsieur maître Jacques LALEMENT, conseiller du Roi en sa cour de Parlement à Paris, demeurant rue des Rosiers, paroisse Saint-Gervais, tant en son nom que comme tuteur de damoiselle Anne LALEMENT, leur fille mineure. Et en la présence de honorable homme maître Jean LORET, procureur au Châtelet de Paris, subrogé tuteur de la mineure. Belle bibliothèque.
(vue 208) cote A : 29 mai 1570 – Contrat de mariage passé à Melun entre (Jacques) LALEMENT et Anne GASTINOIS. Ils se sont mariés à Saint-Séverin le 19 juin 1570.
(vue 208) cote B : 15 – Partage. Nicolas GASTINOIS et Madeleine FERRAND, père et mère de ladite Anne GASTINOIS.
(vue 210) cote N : Maître Jean PONCET, premier mari de ladite Anne GASTINOIS. Feu Simon PONCET, médecin à Melun.
(vue 211) Succession de Etienne PONCET, fils de ladite Anne GASTINOIS et dudit Jean PONCET.
(vue 211) cote O : 1567 – Echange entre ledit sieur LALEMENT, conseiller d’une part, et ledit (Jacques) LALEMENT et maître Nicolas LALEMENT, commissaire examinateur au Châtelet de Paris, d’autre. Ledit sieur cède à Nicolas LALEMENT son frère, la moitié par indivis d’une maison sise à Paris, rue Saint-Jacques, où pend pour enseigne l’Agnus Dei, appartenant auxdits LALEMENT à cause de défunte Jeanne RUBENTEL leur mère.
(vue 211) cote R : 1577 – Transaction entre Simon BOUQUET et Aliénore de BREDA, sa femme, auparavant veuve de Nicolas LALEMENT, et ledit sieur LALEMENT, conseiller, héritier pour un tiers de feu Claude LALEMENT son frère, fils dudit défunt Nicolas LALEMENT et de ladite de BREDA, de la succession dudit Claude LALEMENT. La moitié d’une maison rue Saint-Martin, où pendait pour enseigne la Corne de Cerf.
(vue 212) cote S : 1571-1573 – Partage entre Jacques LALEMENT, conseiller, Nicolas LALEMENT, commissaire, enfants dudit feu Nicolas LALEMENT et de Jeanne RUBENTEL sa première femme d’une part, et Simon BOUGUET tant en son nom à cause de ladite de BREDA sa femme, auparavant veuve dudit défunt Nicolas LALEMENT père, que comme tuteur de Claude et Marie LALEMENT, enfants mineurs d’icelui défunt LALEMENT et de ladite de BREDA, sa seconde femme.
(vue 216) cote CC : 1569 – Accord entre Denis RUBENTEL, avocat en la cour de Parlement, aïeul maternel dudit sieur LALEMENT, concernant la terre et seigneurie de Mons. Nicolas RUBENTEL, fils aîné, Germaine RUBENTEL, veuve de Jean DES SOYES, Madeleine RUBENTEL veuve DESCORDES, audit sieur LALEMENT, conseiller et Nicolas LALEMENT son frère, hoirs de Jeanne RUBENTEL, leur mère, damoiselle Pierre de LEUZE, comme tutrice de Pierre RUBENTEL, fils mineur de feu Claude RUBENTEL et d’elle, Jacques VAUCORBEIL, comme tuteur des enfants mineurs de feu Pierre RUBENTEL. Lesdits Nicolas, Pierre, Claude, Germaine, Jeanne et Madeleine RUBENTEL, frères et sœurs et enfants dudit défunt Denis RUBENTEL, avocat, et de Geneviève PARCEVAL, sa première femme, et ledit sieur RUBENTEL, conseiller, aussi fils dudit maître Denis RUBENTEL, avocat et de Claude TURCAN, sa seconde femme.
(vue 226) 1578 – Contrat de mariage de Nicolas BERTHELOT l’aîné, marchand demeurant à Melun et de Geneviève BARBIN, avec dons à cause de la succession de feu Guillaume BERTHELOT, son père. Charlotte GESU, mère dudit BERTHELOT. 1598 – Pierre LIGER, avocat au Châtelet de Melun, au nom et comme procureur de Pierre SALEBRUN et de ladite Geneviève BARBIN, sa femme auparavant veuve dudit BERTHELOT.
Pleins d’autres renseignements généalogiques.
[99–236] Le 15 [probablement mars] 1599. Inventaire après le décès de Barthélemye LYON. A la requête de son mari, honorable homme Merry DESTÉ, maître serrurier et forgeur ordinaire en l’armurerie (?) du Roi, demeurant rue et paroisse Saint-Paul, tant en son nom que comme tuteur de leurs enfants mineurs. Et aussi à la requête de Jean DUCHESNE, maître serrurier à Paris, tant en son nom à cause de Barbe DESTÉ sa femme, que comme subrogé tuteur desdits mineurs.
(vue 243) 22 février (1599).
A plus tard
Christophe.