CHRONIQUE FAMILIALE « NO LIMIT » Nouvelles chroniques – Septembre 2018

Tout savoir si vous avez créé une chronique familiale sur votre Arbre en Ligne : possibilités offertes, mise en forme de vos textes, gestion de vos photos...
symi43
symi43
Mensagens: 618
Modo de introdução: Texto
Navegação: Texto
Ver a árvore genealógica
  • Imagem DANS LA BIBLIOTHÈQUE DE MARIA
    • L’INCENDIE DU CHÂTEAU DE RANDAN (1925)
      En 1821, Adélaïde d’Orléans et son frère le futur roi Louis Philippe deviennent propriétaires du château de Randan. C’est une période faste qui s’annonce et qui court jusqu’à la révolution de 1848. Cet évènement provoque l’exil du roi des Français et de tous les aspirants au trône de France.

      En 1894, à la mort du Comte de Paris, prétendant au trône , son épouse quitte l’Angleterre et revient en France et plus particulièrement à Randan pour reprendre en charge a propriété auvergnate.

      A son décès, c’est son fils Ferdinand d’Orléans, Duc de Montpensier, qui hérite du domaine.
      Le Duc de Montpensier épouse en 1921 Marie Isabelle Gonzales de Olaneta native de Madrid.
      En janvier 1924, Ferdinand d’Orléans décède au château, son épouse devient son héritière et quitte Randan pour l’Espagne.
      De retour à Randan le 23 juillet 1925, la Duchesse de Montpensier et sa suite s’installent au château.
      Deux jours plus tard, la bâtisse est détruite par un incendie… Elle ne sera jamais reconstruite…

      Récit de ce fait divers régional et vicissitudes d’un héritage dont les bénéficiaires sont établis en Espagne.

      Des liens ont été placés pour accéder à la généalogie des acteurs de cette période de l’histoire.
      >>> Pour découvrir

    • Imagem CRIMES ET FOLIES MEUTRIÈRES EN AUVERGNE
      • DANS L’ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES JUDICIAIRES ET DE LA VINDICTE POPULAIRE – LA GUILLOTINE À RIOM – 9 février 1933
        Un crime est découvert le 16 mars 1932 à Saint-Georges-de-Mons (Puy-de-Dôme). Cette nouvelle jette l’épouvante dans les montagnes d’Auvergne. Deux femmes âgées respectivement de 62 et 63 ans ont été lâchement assassinées. La propriétaire de la maison située au lieu-dit « Les Bruyères » occupait la maisonnette depuis 1926 . Vivait dans la même maison, une de ses amies d’enfance, veuve de la Grande Guerre. L’affaire connue, spontanément, un cultivateur du village de Mazal vint déclarer qu’il avait entendu un coup de fusil la veille vers les 20 heures.
        Très vite, les enquêteurs considèrent que le vol est le mobile du crime. Un suspect est interrogé par les enquêteurs et après un interrogatoire de quatorze heures, il reconnait l’assassinat des deux femmes. Présenté au Juge d’Instruction, il est écroué à la Maison d’Arrêt de Riom.
        Le procès de Marien Evaux se déroule aux Assises du Puy-de-Dôme les 25 et 26 octobre 1932 où il est condamné à la peine capitale. Au cours des débats, l’assassin refusera d’indiquer l’endroit où fut caché le produit du vol, à savoir titres et espèces.
        L’assassin est condamné à la peine capitale. L’exécution est prévue pour le 9 février 1933 devant la porte d’entrée de la Maison d’Arrêt.
        Dans ses éditions des 9 et 10 févier 1933, « Le Moniteur du Puy-de-Dôme » rapporte avec moult détails l’application de cette décision de justice….
        >>> Pour découvrir

      • DANS LA SĖRIE « L’ACTUALITĖ JUDICIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE – REVUE DE PRESSE »
        HORRIBLE ASSASSINAT À SAINT-DIDIER-D’ALLIER (Haute-Loire) - MAI 1891

        Le lundi 18 mai 1891, entre six et sept heures, un aubergiste de Saint-Privat et un cultivateur de Saint-Didier –d’Allier, se rendent de compagnie dans cette dernière localité, quand près du ruisseau qui fait la limite des deux communes, ils aperçoivent le cadavre de Frédéric Rousset, bouvier à Saint-Didier, chez le fermier du château. Frédéric Rousset avait trente-un ans.
        Le cadavre est tourné la face contre terre entre deux pierres dont l’une a servi de marteau. La tête, réduite en bouillie, a été fracassée à l’aide de l’une des pierres qui pèsent treize livres. Les poches de la victime ont été retroussées, …..
        >>> Pour découvrir

      • Merci pour votre accueil et vos messages d'encouragements.

        Bien cordialement,

    Voltar para “Chronique familiale ”